mardi, mai 30, 2006

Information de première urgence

TheSpoonerWayOfLife

On atteindrait les 5 500 morts en Indonésie après le tremblement de terre. Comparé aux 150 000 du tsunami, je ne peux m'avouer que déçu par ce faible score. Gageons qu'ils se reprennent sur une épidémie de peste!!

Mais de tout cela on s'en fout quand même un peu royalement, sinon on serait en train de les aider de nos maisn, donc pas d'apitoiement superflu, en plus la coupe du monde commence ds 10 jours, il s'agirait pas de nous plomber la fete.

EN revanche, j'ai une nouvelle qui va faire frétiller la ménagère de moins de 50 ans.

Smileys devient public demain soir pour les Y N, un peu après pour les mortels...

vendredi, mai 19, 2006

Mon chopin chez les nudistes

TheSpoonerWayOfLife

Waiting for the second one "Smileys"... Comming soon...

Célèbre morceau d'un titre du merveilleux album qui a réveillé les foules, rendu les gens intelligents, bons et contents de vivre, qui a redonné des couleurs à notre monde tout gris. Cet album, c'est "On rendra pas l'argent" des Y. N. Comme le deuxième album est en cours de peaufinage et qu'il va faire exploser tout ce que la vie compte d'ennuyeux, je décide de teaser un peu vos oreilles... alors premier épisode, je vous copie/colle le communiqué de presse qui a servi de base à un marketing viral et abrasif intensif pendant plusieurs mois de 2004 sur de nombreux blogs et forums, sur certaines les choses sont même en core en ligne, sur d'autres on nous a enlevé au bout de quelques secondes, parait qu'il faut pas faire. Bref ici c'est chez wouam, alors hop je tease à donf.

Communiqué de "On rendra pas l'argent", The Y. N., 2004:

"Melomanes, et autres amateurs de pointes, c'est avec une émotion réelle que je vous annonce aujourd'hui ce qui restera l'évènement musical majeur de ce siècle et des suivants. L'album des Y. N. est fini. Il s'intitule "On Rendra Pas L'Argent", et le titre veut bien dire ce qu'il veut dire. Vous êtes prévenus. Quel genre ? Ethnicore progressif, ethylisme accoustique débridé, chanson paillarde post-moderne... les experts hésitent encore pour classer dans un genre précis ce qui est surtout une révolution complète de ce que l'on appelait abusivement jusqu'ici la « musique ». Sans aucun doute le plus grand disque jamais composé par des êtres humains, mais il est fort probable que les auteurs ne soient pas humains du tout.

Enregistré en 2 jours au mois de juin 2004, puis mixé dans les 2 mois suivant selon la methode d'enregistrement nerimienne ("boarf, on rattrapera ça au mixage"), "On Rendra Pas L'Argent" est à la musique ce que Y. N. fut à l'humanité: le point de départ et de convergence de tout ce qui fut, est, ou sera, dans le monde terrestre aussi bien que dans celui des idées, dans le sacré et le profane, dans ce qui vit et ce qui a vécu. Metissage improbable des plus grands courants musicaux judéo-chretiens (du pré-renaissance au post electropunk), arabes (Cheik Raymond) ou boudhistes (polyphonies tibetaines), On Rendra Pas L'Argent sonne comme un boeuf divin entre Bach, le Velvet Undeground, Erik Satie, Patrick Sebastien, les Beach Boys periode "Pet Sounds", Enrico Macias, les Beatles et Afrika Bambaata. L'harmonie des voix confine au sublime et n'a d'égale que l'infinie pureté melodique de ces comptines adultes autant contemporaines que transversales à tous les âges de l'Homme. La parole de Yosh, prophète interstellaire tout droit venu de Connarland, vous atteint aujourd'hui. Profitez-en."

Et je me présente, Spooner, Contre-Tambourin Afterbrüitiste, c'est ma spécialité dans l'ethnicore.

mercredi, mai 03, 2006

Je vais vous dire

TheSpoonerWayOfLife

C'est marrrant ces titres de post, on se croirait en brainstorming pour trouver un titre de spectacle de comique. M'est revenu à l'esprit le titre de franck dubosc d'il y a qq années "J'vous ai pas raconté", d'où un epensée furtive pour ce nouveau film, ce diamant de la comédie, cette comète qui s'est écrasée sur la terre cette semaine, Camping.
Loin de moi l'idée de faire une critique du film, d'abord parce qu'on ne tire pas sur une ambulance, c'est facile de faire des mauvais la risée de tout le monde, personne n'a à y gagner. Quel plaisir peut-on trouver à descendre ça, à part le sentiment à peine palpable d'une quelconque supériorité intellectuelle, que seule les thésards peuvent avoir en critiquant les entreprises, qu'ils ne connaissent pas, qu'ils n'ont jamais connu ou des sociologues pour qui le sport est l'opium d'un peuple qu'ils ne connaissent pas non plus. Bref inutile de dire que je vomis ces comportements indignes même des gens qu'ils visent et qui ne crédibilisent que leurs auteurs.
Etant dans un lieu où la qualité intellectuelle est la chose qui compte, je m'en vais donc critiquer Camping, et ce pour un etrès bonne raison, c'est que je connais merveilleusement bien ce milieu. J'ai inventé le camping au début des années 30. Facile.
Bon le camping, il faut bien le dire, c'est pas tous les jours simple à gérer. Jamais je me suis fait autant chier, jamais je ne me suis autant amusé. C'est faux mais ça fait bien de le dire. On se fout de la gueule du monde à nous faire coucher dans des cages à lapin, alors qu'on passe l'année dans des niches. Mais tout le monde est content, on retrouve cet instinct grégaire de réunionite, que pourtant l'on dénonce en d'autre slieux. On bouffe des sandwiches, on grignote ce que l'on peut en raison de ce que l'on peut conserver d'une part et de ce que l'on peut cuisiner d'autre part. Et dire qu'on se plaint la semaine si on n'a pas nos 23 fruits, 48 légumes et des frites avec du ketchup light et décaféïné. Non je n'exagère pas du tout, c'est vrai. J'ai d'ailleurs inventé le ketchup lignt et décaféïné, alors pour le décaféïner, c'est très simple, il suffit de marquer "décaféïné" sur le paquet, c'est tout. L'esprit fait le reste, c'est magique.
Mais revenons au film, vous vous égarezz, vous partez dans vos pensées, dans vos restes de souvenir, ce genre de choses auquel on se rattache, parce qu'à part les photos il ne reste que ça à se mettre sous la dent, ou sinon une cicatrice d'un saucisson mal découpé à cause d'une conne de table en plastique qui s'est brisée sur vos genoux, et d'un couteau qui a ripé (terme exclusif) dans votre doigt.
Le film donc.
Ontoniente, sans m'en prendre à son être, c'est quand même un réalisateur de merde. Mathilde Seigner, c'est quand même une t^te à claque. Dubosc, bon bah c'est dubosc, un quart d'heure ça va, après t'as quand meme envie de le défigurer. Lanvin bah dans son rôle de grand egueule, il y a quelque de sourd qui dit, s'il pouvait se prendre une bonne branlée une fois, il arrêterait de se la ramener. Brasseur, son père doit se retourner dans sa tombe depuis la boum et sa pub pour du camenbert, mais bon il faut bien l'excuser, on ne peut pas avoir deux grands acteurs dans la meme famille (cf arquette et baldwin qui réussisent l'exploit malgré un chapelet de gosses d'être tous mauvais).
EH bien les extraits m'ont fait rire, ils m'ont rappelé la caricature de ce que j'ai vu, connu, vécu, vaincu. Mais je ne vais aller le voir car rien que d'écrire dessus ça me fatigue.
Rien que de lire vous vous êtes emmerdés, et au moins je suis content qu'arrivés ici nous en soyons au même point qu'au début.
Si si ne dîtes rien, vous êtes venus ici parce que bon vous vous ennuyiez ferme devant votre ordi, et tiens "j'y allais me perdre dans les limbes virtuelles d'un monde parallèle où tout devient possible par la folie créatrice de gens qui s'emmerdent tellement qu'ils écrivent ce qui les emmerdent exprès pour emmerder les autres."
Vous avez bien fait de venir, rien ici n'est drôle, et toute ressembalnce avc quelque sorte n'a jamais fortuitement existé, même de son plein gré.

Bon je vais bosser.